MUNICIPALES A NICE : SUITE

MUNICIPALES : direction centre, et puis faites une virée à l'extrême droite, il parait qu'elle existe encore...

Le Nice gagnant a perdu 5.000 euros dans l'histoire... Normal, crédité de 1% dans le "fameux" sondage, il ne rentrerait pas dans ses frais... déjà entamés pour rien... ça promet pour l'avenir, s'il devait gérer la ville... Sauf que l'on peut se dire qu'il arrêterait à temps...

Pour Rudy Salles, rien n'est encore prononcé... tout comme la candidature d'Estrosi mais il est vrai qu'il aurait la possibilité de rallier ce dernier au deuxième tour, du moins, s'il y a un second tour... Il est vrai que pour qu'il n'y ait qu'un seul tour, cela demande beaucoup de voix, et je ne suis pas si sure de l'unanimité de C. Estrosi.

Modem : point d'orgue quand même de cette campagne (pour la gauche...), malgré les pas si petits 3% accrédités par le sondage, ils pourraient "aider" un certain candidat... (sinon l'autre) Et il est tout de même assez convoité... pas de réponse, semblerait-il encore à ce jour...

J'ai même pas envie de vous parler du FN... tellement leur électorat a été pompé par la droite dite traditionnelle... Et puis zut, je vous mets ce qu'a mis Nice Matin :

"Quid du Front National enfin. Quand Rémi François, le patron d'une fédération en crise, annonçait qu'il était prêt à rejoindre Jacques Peyrat sur une liste d'intérêt général, on croyait qu'il avait abattu ses cartes. Le bâtonnier Gérard de Gubernatis dit d'ailleurs s'y préparer : « Je contacte les élus de la majorité Peyrat qui pourraient nous rejoindre. Soit sur une liste conduite par le maire, soit sur la nôtre au cas où il renoncerait. Et ils sont nombreux. » L'opposant le plus dévoué à Jacques Peyrat est en phase avec Jean-Marie Le Pen qui au micro de RTL a appelé à la réconciliation avec le sénateur-maire. Mais mesure-t-on bien le particularisme niçois dans les couloirs du Paquebot de Saint-Cloud. Pas sûr à entendre Max Baeza, l'ex compagnon de route de Peyrat retourné au FN après une brouille à mort avec le maire : « Rémi François ne représente que lui-même. Le FN doit faire une liste. Moi j'appelle de mes vœux la candidature à Nice de Marine Le Pen... et je suis loin d'être un dissident. Je suis conseiller régional FN, moi. » De quoi ajouter de la confusion à la confusion. Marine Le Pen nous a certifié n'avoir aucune ambition niçoise : « Je ne sais pas où Max a bien pu imaginer un scénario pareil. Les municipales je les vivrais à Hénin-Beaumont. » Pour autant sa venue à Nice, le week-end prochain, n'est pas faite pour tuer la rumeur dans l’œuf."

On y verra plus clair quand on aura la candidature de C. Estrosi, il doit s'amuser, quelque part, de ce jeu trouble... Un petit marathon ??? (cf blog de C. Estrosi)