mercredi 30 avril 2008

LE PETIT PARDON

Le pardon. Aller au delà des pleurs, le coeur avec une flèche dedans. Aller au delà du passé, puisqu'il est passé. Ne pas se retourner puisqu'il me meurt. A chacun ses soucis, à chacun ses travers, on est ce que l'on est mais il en faut toujours un ou une pour aller au delà de ce que l'autre ne peut lui-même traverser. Il faut vivre avec ce que l'autre ne peut entendre, il faut vivre avec ce que l'autre vous renvoie, dans ses propos, dans ses attitudes, qui vous blessent. Toujours, il faut aller au delà.
Pas de haine. Pas de rancœur. Juste laisser glisser. Mais mes rapports avec ma mère sont si douloureux que la tâche n'est pas aisée. Il est une manière pour elle de vivre ses angoisses qui font que c'est l'autre qui en paie le prix. Je paie le prix de mes propres angoisses, de mes propres fausses culpabilités. Je les paie assez cher pour en assumer les siennes.
Maman, tu fais ce que tu veux. Je ne te demande plus rien. Je n'attends plus rien. Et tu ne me demanderas plus en échange de fêter la fête des pères.
Quand je pense que je me suis empêchée d'avoir des enfants pour ne pas reproduire des schémas familiaux, par peur d'être mère, peut-être, et même si j'ai eu cette joie si éphémère mais intense de porter la vie en moi, je ne veux plus avoir de regrets par rapport à ce qui aurait pu être et ce qui n'est pas. Je ne veux plus vivre de regrets, je veux porter mon regard sur ce que je peux faire de ma vie, et qui n'appartient qu'à moi. Je veux me pardonner ce que je n'ai pas su faire, le mal que j'ai réussi, par contre, à me faire. Comme je l'ai dit, cet après-midi, on fait ce qu'on peut. Si ce n'est le mieux, c'est ce qu'on est en mesure de faire. Les cartes sont entre mes mains. Je me laisse ce chemin qui me reste à faire, pour éprouver un peu d'amour envers moi-même.
J'ai la chance inouïe de recevoir l'amour et le soutien de personnes qui m'acceptent telle que je suis. Alors, je ne veux plus voir que cela, entendre ces mots que l'on me dit, et accepter les gestes d'affection que l'on me porte, les soutiens que l'on me donne, sans condition aucune. Merci à ces personnes, elles prouvent que l'humain peut être noble.

Continuons ensemble ce chemin, partageons ce que nous avons de meilleur, et parfois, le moins bon. Nos cœurs à l'unisson des multiples chemins que nous empruntons. Des bouts de jour, des brins de vie.
Entendez-vous battre ces cœurs ?

MA VERITE A MOI



Ma vérité à moi, elle est toute simple. Mes pas me mènent là où vont mes pieds. Là où mon coeur me guide. Ma vérité à moi. Ma vérité. Rien d'autre.


TOUT CE QUI BRILLE N'EST PAS UN DIAMANT

Tout ce qui brille n'est pas un diamant, qui plus est un diamant bleu... On parle de désenchantement, le moral de la population est au plus bas. On n'avait pas vu ça depuis 20 ans. Heureusement, cela ne fait pas 40 ans, sinon, on aurait pu voir un autre mai 68.
On dit également que Nicolas Sarkozy est le président le plus mal noté de la République. C'est peu dire quand on voit une côte de popularité aussi faible, et, ce qui est pire, non pas parce qu'il concocte des mesures impopulaires, mais parce qu'il n'émerge que précarité, que pauvreté grandissante, qu'injustice florissante entre "ceux qui possèdent" (largement), et ceux qui n'ont rien (ou si peu).
Je ne parle que de ce que je connais, je ne l'ai que trop vécu à Londres, cet immense fossé entre les riches et les pauvres.
Il faut être honnête, regarder en face les raisons qui font que Nicolas Sarkozy a été élu.
Une gauche faible et divisée, une Ségolène Royal peu crédible, libérale, mal préparée et mal soutenue. Une France en souffrance, prête à toutes les dérives, à la recherche de son identité, face à une immigration mal vécue.
Alors, les Français ont cédé, à leurs peurs les plus secrètes, les Français, en mal de famille, en mal d'autorité, et ils ont donné le pouvoir à un fils d'immigré, au pouvoir hypnotiseur (auquel j'ai réussi à échapper), au verbe enchanteur mais la poudre de perlimpinpin finit toujours par retomber.
Ma France, je la veux juste. Je la veux dans ses traditions, terre d'accueil, mais pas terre poubelle, terre d'échanges, mais pas d'échangisme. Je la veux plus moderne et réactive, je la veux forte et européenne, pas pro américaine style lèche-frites, mais ouverte aux cultures dans le respect de chacun.

Des mesures sans mesures...
Comment créer des emplois dans la politique de l'emploi aujourd'hui ? On s'embrouille les pattes dans des rafistolages de dernier ordre, au rabais, qui plus est. On cherche des solutions-leurre quant à la sécurité sociale (si on commençait à vraiment faire la traque aux fraudes ?). La liste pourrait être longue...

Ce qui m'attriste le plus, enfin, en partie, c'est que la gauche n'offre pas de vraie alternative à un président, non pas une droite, en déroute. Bientôt, un travail des militants sur la 5ème déclaration de principes du parti socialiste, chose que je n'ai jamais faite, puis, plus tard le travail sur des motions, motions qui porteront des candidats.
A la clé, un nouveau ou une nouvelle secrétaire fédéral national, et plus tard, un candidat aux présidentielles. Avant de prendre toute position, il faudrait que je la lise, mesure mon désir d'engagement, qui, je pense, se fera plus autour de personnes, des idées qu'elles véhiculent, certes, des actions qu'elles portent, surement.
Clivage gauche droite, telle est la question que je me pose. Il y a des personnes de droite que j'apprécie pour leurs actions, même la droite, tout simplement, parfois, pour son dynamisme et sa capacité à agir. Il y a un coeur à gauche, pour adoucir ce capitalisme envahissant, gommer un peu ces inégalités que la droite creuse, malgré tout, quelque part.

Il y a ce chemin, que je prends. Il y a, il y a...
Tant de choses à découvrir encore.

Et à faire.

mardi 29 avril 2008

TOUTE LA JOURNEE...

Les premiers conseils semblent être les plus longs et les plus fastidieux ? Sur le blog de Fabien Bénard, on peut lire qu'en effet, même ceux qui viennent écouter sont moins nombreux... Je veux bien le croire, il suffit de lire le programme sur Nice Premium...

317 millions d'euros pour la rénovation des patrimoines municipaux. Voilà le chiffre choc. Quand on imagine tous les projets à venir... Autant prendre les jambes à son cou. Après on s'étonne que Nice est une des seules villes de France où l'immobilier ne freine pas...
Une anecdote d'une Bruxelloise : un deux pièces de 85 m2, en plein Bruxelles : 600 euros...



SYMPA

Moi, je trouve plutôt sympa de pouvoir suivre le Conseil Municipal, sur le site de la Mairie de Nice ! Pour ceux qui ont le courage de regarder le conseil dans son intégralité !!!

TER : LA REGION SE FACHE


A la colère des usagers, la Région répond. Après la distribution des tracts la semaine dernière, la Région réclame 6 millions d'euros à la SNCF. Retards plus que fréquents, trains supprimés, or, après avoir reçu moultes subventions, il est normal que la Région agisse.
Lire le billet sur le blog de Pascale Gérard, une femme très impliquée dans la politique de la Région.

lundi 28 avril 2008

AUTRE COMPO

Elle se reconnaitra !

Zut... Eh oui, c'est pour moi...

Cendra

COMPO

Elle se reconnaitra. Pour toi !


LAPSUS

Vu sur A tort ou a raison

dimanche 27 avril 2008

LA MONSTRUOSITE A-T-ELLE DES LIMITES ?

Un Autrichien accusé d'avoir enfermé sa fille pendant 24 ans

Par Heinz-Peter Bader

AMSTETTEN, Autriche (Reuters) - Un Autrichien a été arrêté après avoir été accusé d'avoir maintenu sa fille prisonnière et d'avoir abusé d'elle pendant 24 ans, annonce la police autrichienne.

Sept enfants seraient nés de cette relation incestueuse.

La police, qui poursuit son enquête, a identifié la femme sous le nom d'Elisabeth F., 42 ans.

Elle a expliqué aux autorités que depuis l'âge de onze ans, son père, Josef, avait abusé d'elle. En 1984, il l'a attirée dans la cave d'un immeuble d'habitation où vivait la famille, à Amstetten, et l'a enfermée dans une pièce sans fenêtre après l'avoir droguée et menottée, a-t-elle dit.

À l'époque, les parents ont reçu une lettre d'elle disant qu'il ne fallait pas la rechercher, ce qui a donné à penser qu'elle avait disparu volontairement.

La police a indiqué que Josef était en garde à vue mais qu'il refusait de réagir aux allégations de sa fille. Son épouse, Rosemarie, n'était pas au courant de ce qui se passait.

Elisabeth a donné le jour à sept enfants, dont un est mort peu après sa naissance, selon la police.

Trois des enfants les plus jeunes ont été abandonnés avec une lettre expliquant que leur mère ne pouvait s'en occuper. Tous ont été recueillis par Josef et son épouse comme enfants adoptifs.

SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE

Les deux aînés, âgés de 18 et 19 ans, ainsi que le plus jeune, âgé de cinq ans, sont restés enfermés avec leur mère depuis leur naissance et n'ont jamais vu la lumière du jour ni reçu d'éducation, a déclaré dimanche la police lors d'une conférence de presse.

L'affaire a éclaté lorsque la plus âgée des enfants est tombée gravement malade et a été hospitalisée à Amstetten.

"Une jeune fille de 19 ans a été déposée le week-end dernier à l'hôpital de Amstetten. Elle est gravement malade et lutte contre la mort", a dit un porte-parole de la police.

Les médecins ont lancé un appel à la mère - qu'ils croyaient alors disparue - pour qu'elle leur apporte des précisions sur le dossier médical de sa fille.

Josef a alors sorti de sa cachette Elisabeth et les deux autres enfants vivant avec elle en expliquant à son épouse que leur fille "disparue" avait choisi de revenir à la maison.

Après avoir obtenu l'assurance qu'elle n'aurait plus de contacts avec son père, Elisabeth a accepté de faire une "déposition complète", a ajouté la police.

Rosemarie, Elisabeth et les enfants bénéficient d'un soutien psychologique.

Des prélèvements ADN de toutes les personnes concernées ont été effectués et seront analysés.

Cette affaire rappelle celle d'une autre Autrichienne, Natascha Kampusch, qui a passé huit ans enfermée par son ravisseur dans une cellule sans fenêtre avant de réussir à s'échapper, en août 2006.

Version française Nicole Dupont

NE RIEN AVOIR...

Ne rien avoir, et tout avoir... Encore des architectures, des moulures, des immeubles d'il y a un siècle, et, au coin d'une rue, une ruelle, qui fait penser à un village... Des fresques, des couleurs à en faire pâlir un peintre, tout, absolument tout. La saison commence, des touristes demandent leur chemin. Et des gens, encore des gens qui me parlent, qui sont ravis qu'on s'intéresse à leur quartier. Et même des gens qui remarquent, au travers du fait que je prends un immeuble en photo, la beauté de cet immeuble. Une dame me l'a dit : "je n'avais pas remarqué, mais comme vous preniez des photos, oui, effectivement, c'est beau." Et on se met à parler architecture, de la disparité des immeubles. Des "Ho! regardez, celui-ci, il n'est pas beau comparé à celui-là. Oui, vous avez raison, regardez, ce sont des vraies pierres, non, ce n'est pas peint par dessus !"
La saison commence aussi pour les vieux schnocks qui me prennent pour une touriste, et me parlent en anglais, et me proposent de venir faire des photos artistiques... il faut de tout pour faire un monde !
Remarquez, la cursivité de d'un ensemble d'immeubles dans une rue près du bord de mer, c'est surprenant. C'est beau. Mais qu'est-ce qu'on le paie cher !




URGENCE PROPRETE ?

Même si on s'y promène le jour, je suppose que les fortes odeurs d'urine ne doivent pas être parties si facilement...

Cette digue est une honte, à "proprement" parler...
Quand on s'y promène la nuit, je sais, ce n'est pas un endroit "décent" pour s'y promener la nuit, on y découvre de drôles de pratiques...
En tant que citoyenne de la France, j'estime que j'ai le droit de me balader n'importe où, à n'importe quelle heure, sans y être "inquiétée". C'est peut-être un peu prétentieux ? Soit.

Cette digue, la nuit, il faut le savoir, est un lieu voué à tous les vices. Drogue, prostitution homosexuelle, pédophilie.
Comment est-ce que je le sais ? Ce n'est pas la première fois que j'y vais le soir, tard, et ce que j'y ai observé, ce n'est pas bien beau. J'y étais, hier soir, et, quand j'y suis arrivée, deux jeunes qui, bien à l'évidence, venaient de se "fournir", se préparaient un joint. Après, du côté de la photo, un manège, bien anodin en apparence. Des allées et venues d'hommes, qui très ostensiblement, attendaient. D'autres qui surveillaient. Puis sont arrivés deux homosexuels, qui, selon toute apparence, n'étaient pas là pour venir chercher mais pour proposer...
Pourquoi je parle de pédophile ? Parce qu'un homme qui "travaillait" là-bas m'a un soir proposé ses services, et m'a demandé ce que je cherchais, et que l'on pouvait tout trouver... Et parce qu'un soir, très tard, une fois, j'y ai vu un jeune homme accompagné d'un enfant (ou très très jeune adolescent), et, me voyant, est reparti après avoir fait style de se balader.

Alors, je le dis clairement : l'hypocrisie de notre société actuelle va-t-elle cesser ? Que les hommes soient assez faibles concernant leur appareil, ça, on le sait bien. Et quant à ma position concernant la prostitution, elle n'est pas forcément radicale. Je me pose seulement la question du réel volontariat des femmes qui se prostituent, mais, il y en a, et je ne les blâme pas. Car je préfère, quand même, qu'un homme aille voir une femme plutôt qu'un enfant.
Mais expliquez-moi pourquoi certaines femmes, qui, (eh oui, nous avons un sexe aussi, qui éprouve du plaisir) ont parfois, dirons-nous, des envies, des désirs, arrivent à se les passer toutes seules ? Je suis très pudique, en général. Mais le tabou n'aide pas forcément à forcer au respect. Surtout quand tant de femmes nues sont étalées dans les magazines, sur les affiches, n'importe où dans la rue.

samedi 26 avril 2008

APRES LES QUESTIONNEMENTS

Il y a toujours un temps pour les questionnements et toujours un temps pour la réflexion. Après avoir tourné, si possible pas en rond, ces sujets de questionnements dans sa tête, si tant est si peu qu'elle fonctionne correctement, des éléments de réponse doivent pouvoir se trouver. Je sais pertinemment bien qu'il y a des freins que je mets systématiquement en place pour bloquer certaines avancées. Des freins et des rancœurs, une famille peu présente, un passé pénible, mais bon, peut-être que ça suffit non ?
Pourtant ça fait mal, merde ! Mais c'est comme ça. On ne peut changer les autres. On ne peut que composer.
Il est temps que je me détache de tout ça. C'est dur.
J'ai les cartes dans mes mains. A moi de les jouer. Je ne suis ni plus bête ni plus incapable que quelqu'un d'autre. Au contraire, j'ai des qualités et des richesses que d'autres non pas (attention, ça sent la gonflette là!). Faut que je mette au clair tout ça dans ma tête. Allez, une petite marche ? Le coeur serré. Mais bon.
Ben avec moi, y'aura toujours des questionnements, faut seulement que je les aplanisse un peu...
Musique africaine ce soir...

Baieta !

FAMILLE QUAND TU NOUS TIENS

Pff, rien à dire finalement. Tout est dit dans la photo.

FAUT VRAIMENT AVOIR ENVIE

La seule manière de préserver son équipe est de présenter des candidats partout ? Car, en démissionnant du Conseil Municipal, le risque aurait été de les disperser... Jacques Peyrat, briguant à nouveau le mandat sénatorial, veut étendre son équipe fidèle à toutes les élections régionales et cantonales. En attendant, il faut mettre la main à la poche... Qu'adviendra-t-il après les sénatoriales ? N'est-ce pas une duperie de plus ?
A voir...

LEGISLATIVES PARTIELLES

Le compte est rond ! Cinq candidats pour la cinquième circonscription. Estrosi est-il si à part qu'il n'est pas candidat, et donc déjà élu ? 6 candidats donc, et le compte est bon !

Paul Cuturello pour le PS, soutenu par le MRC et le PRG;
Le parti communiste, qui hésitait, a finalement choisi de présenter un candidat : Ghislain Gianno.
Le FN, le MEI et un candidat sans étiquette mais avec comme suppléant Philippe Vardon...

Bref, cette élection sera un test pour Christian Estrosi.

Des absents à cette élection : l'Entente Républicaine et Gauche Autrement...

Comme si tout était joué d'avance ?

RENDRE SA DIGNITE

Lors de ma série de photos du cours du Paillon, quel ne fut pas mon choc en voyant un graffiti ignoble ajouté sur un magnifique tag. J'ai voulu essayer de rendre sa dignité, fut-elle minime, à cet enfant. Bon, le travail sur la photo n'est pas très bon, mais, est-ce qu'un élu pourrait faire de même (en mieux donc), en vrai ? Merci.

SAHARA OCCIDENTAL : QUATRE FRANCAIS EXPLUSES

Le Maroc expulse quatre militants français des droits de l'homme

RABAT (Reuters) - Le Maroc a expulsé quatre militants français des droits de l'homme accusés d'avoir tenté d'aider des indépendantistes du Sahara occidental.

Les quatre Français ont été arrêtés à Tan-Tan, une ville du sud du Maroc, et maintenus en détention avant d'être conduits à l'aéroport d'Agadir où ils ont été placés à bord d'un vol en partance pour Paris, a-t-on appris de source proche de la sécurité marocaine.

"Les services de police de Tan-Tan ont procédé, vendredi, au refoulement hors du territoire national de quatre ressortissants français, qui présentent un risque pour l'ordre public", a dit cette source.

L'une des quatre, Claude Mangin-Asfari, avait l'intention d'organiser une visite dans le territoire pour des groupes internationaux de militants des droits de l'homme afin "d'aider les séparatistes", dit-on de même source.

Amnesty International a publié un communiqué déplorant "l'expulsion aujourd'hui par les autorités marocaines d'une délégation d'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture, nouveau revers pour les défenseurs des droits de l'homme" travaillant sur le Sahara occidental.

Revendiquant des droits anciens sur le territoire, le Maroc a annexé la plus grande partie du Sahara occidental en 1975, après le retrait de l'Espagne, ancienne puissance coloniale.

Une guerre s'en est suivie avec le Front Polisario (indépendantiste) jusqu'à la conclusion d'un cessez-le-feu sous l'égide des Nations unies, en 1991.

L'Onu a tenté d'organiser un référendum pour permettre aux Sahraouis de se prononcer sur leur avenir, mais Rabat juge qu'il est impossible d'organiser cette consultation et qu'il ne peut offrir qu'une autonomie limitée.

Mangin-Asfari est mariée au militant sahraoui Ennaama Asfari, arrêté le 13 avril à Marrakech, dans le sud du Maroc, et accusé de conduite en état d'ivresse et de coups.

Asfari, détenu dans l'attente de son procès, le 28 avril, dit avoir été suivi pendant trois jours par la police avant son arrestation et il affirme que les accusations ont été montées de toutes pièces par les autorités marocaines pour entraver ses activités.

Il a dit avoir été lié à un arbre et battu pendant un interrogatoire sur ses relations avec des étudiants sahraouis à Marrakech, a rapporté Amnesty.

Tom Pfeiffer, version française Nicole Dupont

Un site pour comprendre l'histoire du Sahara Occidental : Sahara Occidental

vendredi 25 avril 2008

PAS CONVAINCUE

Mitigée aussi, mais plutôt dans le sens du négatif... Surtout sur le pouvoir d'achat, la faute à l'euro, le manque de concurrence, désolée, je ne suis pas d'accord, il faudrait plutôt parler d'entente entre les grandes enseignes... Malgré l'envol du coût des matières premières, malgré l'euro (cela fait quand même 6 ans que nous sommes passés à l'euro, alors, c'est un peu bidon comme excuse). Pas convaincue au niveau de l'emploi car rien n'est mis en œuvre pour la création d'emplois, son discours étant plutôt (dés)axé sur la défiscalisation des heures supplémentaires, les retraités qui auraient le droit de travailler, sur le RSA, ce qui m'a choquée, car étant moi-même en "contrat aidé", comme on appelle ça, personnellement, je n'ai le droit à rien, je me lève tôt mais cela ne me permet pas de gagner ma vie. J'ai été choquée par sa phrase de tout un paquet de gens qui touche la prime pour l'emploi, que cela ne servait à rien... etc.
Choquée par sa phrase qu'il ne réussirait pas à faire passer sa loi pour le vote des immigrés aux élections locales, lui qui réussit à faire passer tant de choses...
Pas spécialement contre tout ce qu'il a dit... non plus mais...
Le Nice Matin a compté le nombre de fois qu'il aurait dit "erreur", je voudrais compter le nombre de fois (un peu moins que d'habitude) où il a dit "ce n'est pas normal", ou "normal". C'est une obsession, chez notre président... Quant on pense à l'affaire de l'ADN, c'est un peu "normal" de trouver cela inquiétant...

Les Français mitigés sur l'intervention de Nicolas Sarkozy

PARIS (Reuters) - Les Français semblent très mitigés sur l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy jeudi soir, à en croire trois sondages, deux plutôt négatifs pour le chef de l'État et un plutôt positif.

Selon un sondage Ifop pour LeJdd.fr, le site du Journal du dimanche, Nicolas Sarkozy a réussi à inverser légèrement la tendance baissière dans les sondages de ces dernières semaines.

En effet, 51% des sondés l'ont jugé convaincant, tandis que 49% expriment l'opinion inverse, indique cette enquête effectuée auprès de 814 personnes, dont 532 téléspectateurs ayant assisté à l'émission.

Un an après son accession à l'Élysée, le bilan de Nicolas Sarkozy reste cependant négatif pour une large majorité des personnes interrogées, 61% étant mécontentes de son action, contre 39%.

Selon un autre sondage effectué cette fois par CSA pour Le Parisien, à paraître samedi, seules 32% des personnes interrogées l'ont trouvé convaincant jeudi soir, 52% exprimant l'opinion inverse tandis que 12% ne se prononcent pas.

Ce sondage a été effectué le 25 avril auprès d'un échantillon de 1002 personnes.

Selon une troisième enquête effectuée par OpinionWay pour Le Figaro et LCI, une courte majorité des personnes ayant suivi l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy n'a pas été convaincue par le chef de l'État.

Selon cette enquête, 51% des personnes interrogées, contre 49%, n'ont pas trouvé le président de la République convaincant.

Les sceptiques mettent en avant le décalage entre son talent d'orateur et la réalité de ses résultats. Ils évoquent une tendance à l'autosatisfaction et un manque d'écoute, ainsi qu'une mauvaise maîtrise des dossiers.

Inversement, les personnes convaincues par le chef de l'État l'ont jugé sincère et honnête, soulignant sa bonne connaissance des dossiers, sa clarté et son humilité, ainsi que sa persévérance et sa ténacité.

Nicolas Sarkozy a surtout convaincu sur ses efforts pour obtenir la libération d'Ingrid Betancourt (63%), la nécessité des réformes (62%), les difficultés liées à la situation économique internationale (59%) et la question du chômage (55%).

De même, 53% des sondés pensent que le président de la République va tenir son engagement de mettre en oeuvre le Revenu de solidarité active (RSA).

En revanche, il a été jugé peu convaincant sur le pouvoir d'achat (32%), le paquet fiscal (35%), son choix d'envoyer des soldats français en Afghanistan (41%) et la suppression de postes d'enseignants à la rentrée prochaine (44%).

Ce sondage a été réalisé les 24 et 25 avril auprès d'un échantillon de 994 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Gérard Bon

EXPLICATIONS

Bientôt des réflexions (après les questionnements !!!). J'ai commencé à rédiger mais n'ai pas envie d'écrire n'importe quoi ni comment. Ce n'est même plus de la colère. Juste l'envie de faire autrement. D'enfin prendre cette route qui me fait si peur, et sans aucune raison.

Peut-être vivre, tout simplement.

jeudi 24 avril 2008

CHE PASA ?

Blogger s'affole ou alors c'est mon compteur ??? 21 visiteurs live ??? Hummm, si c'est pour lou paioun, alors... quel plaisir !!!

VOYAGE LE LONG DU PALHOUN

Je vais, pour l'histoire, citer quelques sites :

Nice Rendez-Vous

Fleuve côtier ? Torrent ? Le cours d’eau qui irrigue Nice est à la fois l'un et l'autre... Formé par quatre bras principaux qui s’enfoncent à 35 kilomètres à l’intérieur du haut-pays (Paillon de Levens, Paillon de Contes, Paillon de l’Escarène, Paillon de Laghet) les Niçois disaient jadis qu'il n’a pas de source. (...)

(...) Le danger est tel que jadis, la ville entretenait un guetteur à cheval chargé d'avertir les populations menacées, et notamment les "bugadières" qui lavaient leur linge tout au long du cours d'eau, au cri de « Païoun ven, Païoun ven ! » (Le Paillon vient !).

Site de l'INRAP, car lors des travaux du tramway, des vestiges ont été découverts :

Sous le tramway de Nice, la ville médiévale

À l'occasion du chantier du tramway, un pan de l'histoire de Nice est mis au jour. Le premier pont du Paillon et les anciennes fortifications de la porte Pairolière ont été l’objet de fouille, en plein cœur de la ville.

Et un voyage, au travers de mes photos, des paysages du Paillon, des deux rives, droite et gauche, à partir de Bon Voyage, vers Pasteur, Vérany... jusqu'au palais d'Exposition.



Et des beaux fonds de Paillon...



Et des cartes anciennes, un œil tourné vers le passé :



Tournée vers le passé, tournée vers l'avenir, j'ai eu envie de faire des photos du Paillon, car c'est un autre thème qui me tient à coeur. On ne cesse de parler de la Plaine du Var, de l'Arénas, de tout plein de projets qui concernent le côté Ouest de la ville. Et l'Est, là-dedans, restera-t-il le quartier pauvre de Nice ?