VIOLENCE
Entre les feux qui se déclarent ici ou là à Nice (après la rue Reine Jeanne et dans les sous-sols de la gare, et en moults endroits...), il n'est pas un instant de répit pour lire autre chose que de la violence, des marques d'incivilité, pour rien et pas grand chose du style "je traverse quand c'est vert et si t'es pas content je sors le cutter". Du style embouteillage, on voit bien que c'est bouché, mais on n'en peut plus alors on se défoule sur le klaxon, et tout le monde en fait les frais.
La ville devient un lieu de vie de plus en plus stressant, et le travail est un facteur aggravant parfois. Des conditions pas toujours saines, cela laisse rêveur, les années soixante, quand ma mère me les raconte. Elle pouvait quitter son emploi et en trouver un autre le lendemain. aujourd'hui, vous pouvez toujours quitter votre emploi, mais c'est l'employeur qui aura trouvé un remplaçant dès... hier !
Au fait n'oubliez pas, la fête des secrétaires, c'est le 17 avril. Mas ça ne fait pas oublier le reste...
Allez va !
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