dimanche 21 octobre 2007

MESSAGES PERSONNELS...

En réponse à un message que je ne publierai pas, non pas qu'il soit agressif mais jouant sur les mots, tout comme un autre, parce que j'ai donné mes explications par message perso, je préfère répondre ici, tout en répondant à un billet de Patrick Allemand sur son blog.

Au jeu de mot, je réponds par cette petite composition, telle que j'adore les faire, vous avez pu vous en apercevoir... Quant à mes explications pour l'autre commentaire publié, j'espère que la personne en question aura été "éclairée".

Quant au billet de Patrick Allemand sur son blog, je voudrais juste lui dire qu'il a une chance inouïe, la chance inouïe qu'il puisse pouvoir rencontrer des personnes du lycée où il était, sans avoir des pincements au coeur (sauf le fait que l'on vieillit mais bon...), parce que si je pense à cette période, cela me donne plus que des pincements au coeur, une période où il ne m'y était "autorisé" que de survivre...
J'avais plus que les simples combats ou les doutes que peut rencontrer une adolescente. Je menais un combat contre une personne, je menais un combat avec les blessures que cette personne m'avait infligée. Et l'adulte que je suis actuellement en souffre toujours. Des personnes du lycée, oui, je pourrais en rencontrer, mais je n'ai pas fait le deuil de mon passé. Tous ceux qui lisent mon blog savent de quoi je parle.
Il y a des blessures qui laissent des cicatrices, et les cicatrices, elles refont mal, de temps en temps.
Alors, pour répondre indirectement à un des commentaires, je dirais : je suis fidèle à un principe, celui d'être moi-même, et, sans vouloir paraître prétentieuse, même si je ne doute pas qu'ils se trouveront des gens pour (mé)dire que je le suis, je suis quelqu'un de profondément "bien", c'est-à-dire, sincère, généreuse, altruiste, et avec des défauts... Comme tout le monde !

Ma confiance, je ne l'accorde pas facilement, je dirais même que c'est un long périple avant d'y accéder ! Et elle ne sera jamais totale, ou aveugle.

Je tiens à remercier, en tous cas, tous ceux qui font preuve de patience envers moi, ils ou elles se reconnaitront. Ma confiance, je la garde pour tous ceux qui sont sincères et mènent de vrais combats.

Cette lutte qui nous unit, les socialistes, dans un contexte plutôt difficile, je la mènerai comme je peux, avec mon coeur en tous cas. Et de cela, vous ne devez jamais douter !
Vaille que vaille ! C'est ainsi que je reconnaitrai ceux que mon coeur a déjà reconnus...

Cendra

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