dimanche 29 juillet 2007

FROIDEUR, MANIPULATION, REFLEXIONS, ORIENTATION, CHEMIN DE VIE

Petite poupée de cire et de son... Qui ne connait pas la chanson ?

Derrière une femme fragile peut se cacher une autre femme. Derrière la sensibilité, une froideur. Marionnette à ses heures. Tenant quelques fils à d'autres.

Le fil ne peut être tiré indéfiniment. Tout comme le cheveu, dont la structure permet un étirement de 50% sa longueur.

Les pensées s'étirent dans le prolongement de l'âme, et l'âme se dessine à l'horizon des êtres. Quel est l'horizon de cette petite marionnette ?
Que se profile-t-il derrière ses mots, ses questionnements, ses déchirements ?

Un regard. Un coeur. Un violon.

Elle est partout à la fois brisée en mille éclats de voix.

Et moi j'attends qu'éclate sa joie.

Parfois la vérité ne se trouve pas là où on la cherchait. Parfois, il faut laisser venir les choses, et parfois, il faut les provoquer.
Mais ne jamais laisser les autres penser à votre place.

La réflexion pour elle-même ? Peut-être vaut-il mieux un fil conducteur, une raison, un chemin, qui nous est propre. La raison nous est personnelle, les chemins ont pour origine les choses de notre vie. Notre vie en partie construite par d'autres, que nous ne voulions pas. Des éléments de vie qu'il vaudrait mieux que nous détachions de nous-même, et qui sont part notre chair.
Alors, il faut transmuer ces chairs. Les transformer et les rendre positives.

Pour enfin vivre notre vie.

Ne jamais laisser les autres penser à notre place. Et prendre place.

La raison de ces réflexions est le cheminement de parcelles de vies, qui toutes ont leur place, et leurs raisons. Elles m'amènent personnellement à des prises de décision et de position. Leur chemin est tortueux et mes questionnements sont nombreux. Et pourtant, je me dis qu'il y a une raison à tout cela et que je finirai par trouver leur finalité.

Ma raison est partout à la fois brisée en mille éclats de voix. Voix que je reconstruis en un choeur à l'unisson avec mon passé, mon présent et mon avenir. J'ai souvent l'impression de ne pas choisir les voies qui m'y mènent et pourtant l'endroit où mon être demeure un instant est celui où je dois me trouver. Les clés ne sont pas forcément celles que je crois mais les portes sont bien là.
Et je suis seule à les ouvrir. Personne pour guider mes pas. Personne en qui j'aie foi.

Ne jamais laisser les autres penser à ma place. Et prendre place.

Y a-t-il, derrière une de ces portes, un large patio, empli d'amitié, où je puisse laisser reposer en paix mon âme ? Cet endroit existe. Pour cela, il me faut du courage (encore et encore !), un peu de foi envers les autres, de la confiance, et la bonne clé.

A suivre...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je te prépare un p'tit patio, à la fraiche, tu verras, c'est sympa et tu le mérites. Largement.