REFLEXION A VINGT BALLES

Je ne suis pas Voltaire. C'est donc pas ma faute. Réflexion à vingt balles parce que je n'ai pas le temps d'étaler mes pensées. Ni l'envie. Je suis heureuse d'avoir créé ce "petit chef d'œuvre" d'hier soir. (merci XXL, mais ce n'est pas que dû à vous...) Pas très modeste soit ! Au diable la modestie ! Par contre, ça m'a donné envie. Créer, c'est pas forcément facile, et pourtant, l'art, ou l'écriture, sont des moyens d'extériorisation formidables. C'est un exutoire intéressant car, s'il peut être discuté sur la forme, il ne peut l'être sur le fond. Encore que. J'ai mis ma création sur l'espace bureau de mon ordinateur. Je l'ai en partie "psychanalysé", et, c'est vrai qu'il me correspond un peu. (je n'en ferai pas l'analyse ici) En bref, une partie de mystère, une partie de feu, une partie maternelle.
Les épreuves de la vie, il faut s'en relever, et en tirer profit. (ça me fait penser à quelqu'un qui critique et... ne construit rien !)
Il y a tant à faire sur cette terre, tant à faire. Qu'il faut savoir prendre ce qui est à construire, ou colmater, ou guérir. Aimer en fait partie. Je parle de l'amour du monde. Bon, ok, il y a le sexe aussi. Mais pourquoi pas transcender tout acte stérile en une semence pour l'humanité ? (ok, sexe, semence : jeu de mots ?) C'est juste un clin d'œil à une "semence" stérile que l'on peut semer à tous vents. Et qui ne germera jamais.
C'est comme avoir des yeux et ne pas voir. Avoir un cœur et ne pas aimer. Avoir des mains et ne pas les tendre. Avoir des bras et ne pas porter. Avoir des jambes et ne pas marcher. Avoir une voix et ne pas parler.
Ce ne sont pas forcément ceux qui possèdent tous leurs sens ou leurs organes, qui en font les meilleurs usages. Un paraplégique peut "marcher" beaucoup plus loin que quelqu'un qui a l'usage de ses jambes. Un aveugle verra mieux dans votre cœur qu'un voyant.(ok, jeu de mot avec "voyant"= médium)

Voyez-vous dans mon cœur ?