LES CHOSES AVANCENT : TENACITE - PROXIMITE

Multiples ramifications certes... appui du président, certes... Mais on m'a raconté sur le marché que Christian Estrosi était passé vers 8h30 - 9h, un peu tôt pour un dimanche matin, jour de la grasse matinée... Voilà, pour une rupture, cela commence bien ! Il refait la même chose que Peyrat. Si, à part laisser son empreinte, à part un départ symbolique, il y a autre chose, faites-le moi savoir, car là, franchement, c'est un peu beaucoup se moquer du monde ! Ce n'est pas la population qu'il est venu voir.
C'est juste pour faire savoir qu'il est là, sans être vraiment là !


Patrick Allemand, lui, il se mouille la chemise ! Il y est resté toute la matinée sur ce marché. A parler avec tout le monde, pas simplement à serrer des mains ! C'est cela, ce qu'on appelle la politique de proximité ! Ce n'est pas rester une petite heure.
Bonnes nouvelles pour les alliances, Joseph Ciccolini devrait donc rallier le PS, l'accord est signé avec le MRC, de bonnes choses en perspective donc.
A nouveau, je voudrais saluer tout le courage et la persévérance de mes camarades qui sont sur les terrains : que ce soient la rue, le web, ou toute autre démarche entreprise par ceux-ci.
Il est important de souligner dans toute campagne les actions effectuées par les militants. Car nous croyons en la démarche de Patrick Allemand et c'est pour cela que nous le suivons.
Je n'ai pas toujours été d'accord avec lui, et même maintenant, mais, c'est cela qui fait peut-être une force. Car, malgré les vagues que j'ai pu causer ( je m'en vais, je reviens...), j'ai conscience que seule maintenant une véritable démarche est importante. Trouver sa place aussi. S'interroger sur ses convictions profondes. Faire le tri de tout ce qui peut encombrer une telle démarche. Dans les désaccords, faire la mesure de ce qui est réellement important. Et, ce qui est important, aujourd'hui, et pour demain, c'est de ne pas retrouver les mêmes magouilles du passé, c'est se tourner vers un Nice fait pour tous, dans une juste mesure, entre passé et avenir.

Il n'est plus temps de laisser la place au doute. Mais cela ne m'empêchera pas de penser. Et de dire mon mot, que ce soit "Non, tu as tort", ou, "Je ne suis pas d'accord", ou bien, "Là, c'est vraiment bien !" et enfin :"Ton programme colle aux Niçois !".

Le temps passe. Au travail !