mercredi 12 mars 2008

UNE JOURNEE DE TRAVAIL BIEN ORDINAIRE

Mardi 11 mars 2008. Premier réveil qui sonne. Pas entendu. Le deuxième, un peu plus loin, pas le choix, je lève le bras, attrape la "chose", l'arrête. Un oeil qui s'ouvre, un petit soupir, et le premier pied par terre, puis le second. Direction cuisine, mon fromage blanc, ma banane, direction salle de bain. Un peu d'eau froide pour me réveiller. Crème sur le visage, mascara, rouge à lèvres, puis s'habiller. Tout est dans le sac, ok, la clé sur la porte, ascenseur et direction l'arrêt de bus.
Je mets les écouteurs à mes oreilles, ma musique préférée, il fait bon. Depuis le tram, le bus est moins plein, c'est facile de se trouver une place.
Arrivée, je descends à mon arrêt habituel, près du pont, dernière cigarette avant d'aller bosser.
Bises et discussions du matin. On parle beaucoup municipales et cantonales.
L'ordinateur allumé, première chose à faire. Réunir les documents qui me serviront de toute urgence. Avec mon chef, la discussion est vivante, très axée sur les élections du moment, il est optimiste pour le deuxième tour des cantonales sinon rêveur d'une victoire.
La journée est un peu mouvementée, manque de personnel, activités de dernière minute à organiser, il faut être partout à la fois. Sur les différents terrains.
Déjeuner sur le pouce, je pars m'acheter un sandwich, j'ai oublié ma carte de cantine, il fait chaud, le repas n'est pas alléchant aujourd'hui. Mon chef est encore dans le bureau. Je reviens, et seule devant mon ordinateur, j'en profite pour regarder les nouvelles du moment tout en mangeant.
Une triangulaire qui s'annonce serrée, des blogs où les commentaires sont assez virulents, surtout du côté des partisans de Patrick Mottard. Déception. Dans le Métro Nice, ils annoncent que dans le 6ème canton, Jean-Pierre Mangiapan n'a rien à craindre de la gauche, Pierre Laigle. Tout est toujours vendu d'avance, dans ces journaux.
Un petit tour dehors et je reviens à mon poste.
Avec mon chef, toute une ribambelle de choses à faire, et, notamment, une visite à organiser pour le surlendemain. Un tas de coups de fils à donner. Nous nous y mettons tous les deux. Les heures avancent.
16 heures passées. Mon chef s'en va et me dit de dire à Sam qu'il a un rendez-vous à un endroit.
16 heures 30. Mon chef revient. Il a oublié une chose importante. Il doit filer à toute vitesse. Faire la commission à Sam.
Je plie bagages. C'est mon heure. Sam s'inquiète pour mon chef. Nous sommes confiants. Nous en discutons dans la voiture. Nous ne savions pas. La suite.
Rentrer. Ecrire. S'informer. Manger. Un peu de télé. Dormir.
Une journée ordinaire ?

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